Les quartiers prioritaires sont peu attractifs et ce constat, loin d’être nouveau (v. J.-P. Brouant, Ville et cohésion urbaine, AJDA 2014. 973 image), traduit l’échec de la politique de la ville. Les pouvoirs publics y consacrent pourtant environ 10 Md€ chaque année, auxquels s’ajoutent les fonds consacrés à la rénovation urbaine et les dépenses, « difficilement mesurables », des collectivités territoriales.

L’échec se mesure autour de trois dimensions de la vie quotidienne de ces quartiers : en matière de logement, en dépit de...

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Auteur d'origine: pastor